De nombreuses traditions Juives correspondent aux préceptes de l’ancienne Egypte.
Un exemple est la défense de mutilation des corps après la mort, qui est basée sur le concept de résurrection. Concept qui a motivé la construction d’énormes pyramides afin de protéger l’intégrité corporelle des défunts importants.
Quoique les Juifs n’allaient pas jusqu’à momifier les morts (le corps devant retourner à la terre), Joseph a été momifié et ramené d’Egypte pour être enterré en terre sainte.
Et quand on y réfléchit, finalement résurrection il y a, grâce à la préservation du corps et grâce à l’écriture. Pas dans le sens simpliste des justes qui revivront, mais dans le sens de la préservation des grands hommes dans la mémoire collective. Mémoire accentuée chez les Egyptiens grâce à la momification et aux écrits. Après des milliers d’années nous sommes encore aujourd’hui capables de connaître la vie et les souffrances des morts de l’ancienne Egypte, rien qu’en étudiant leur dépouilles avec des méthodes de diagnostic modernes, et en lisant les hiéroglyphes. Une des pires injures employée dans la tradition juive est l’effacement de la mémoire (que son nom soit rayé! » Yemar chemoy « ) (suite…)